Collaborateurs occasionnels

Commissaire Léonce Caponi

Une mention spéciale à ce commissaire de la police parisienne, qui ne fait pas partie de la Brigade (et heureusement !), mais qui a bien aidé malgré lui ces agents. Avec son ventre bien rond, et son double menton, c’est le commissaire incapable en puissance. Il cumule boulette sur boulette, faute sur faute. Il agit parfois comme agirait un nouveau. C’est à se demander comment est-il devenu commissaire. Mais il ne faut pas être trop dur. C’est lui qui met à disposition ses effectifs et son matériel lorsque la Brigade en a besoin. Il est malgré lui un agent de la Brigade en quelque sorte... Le commissaire Caponi a pris sa retraite de la police nationale en 1932.

Major Pochard

Les agents de la Brigade croisèrent plusieurs fois la route de ce médecin militaire inquiétant, qui ricane étrangement à chaque fois qu’il pratique une autopsie. Pourquoi le tonnerre gronde-t-il à chaque fois qu’il communique ses conclusions ? (effet cinématographique garanti !)

Aristide Langevin

Opposant au régime de Napoléon III, ancien communard, ce vieil anarchiste barbu amateur de cigares possède une gigantesque bibliothèque contenant de nombreux ouvrages du Mythe. Sa connaissance de l’occultisme est impressionnante. Les agents de la BMS sollicitèrent à plusieurs reprises ses services... de gré ou de force.

Professeur Alain Devaux

Le professeur Alain Devaux est un professeur d’histoire à l’université de la Sorbonne. Il a conduit plusieurs recherches historiques pour le compte de la BMS, notamment dans le cadre de l’enquête contre les vampires de la Cabale. C’est un homme chauve à lunettes, qui raconte l’histoire passionnément en faisant de grands gestes de la main avec lesquels il lui arrive involontairement de renverser le verre d’eau posé sur son bureau...

Commissaire Pierre Darielle

Le commissaire Darielle est un grand homme chauve, affublé d’une épaisse moustache tombante surmontée d’un gros nez. Il a une voix grave et des airs sévères de grand seigneur, mais perd vite de sa superbe aux yeux des agents de la BMS qui sont confrontés à ses déductions formulées à l’emporte-pièce et fortement accompagnées de préjugés. Il est affecté à la police judiciaire parisienne en 1937, après avoir eu la responsabilité de commissariats de quartiers pendant quelques années.

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